Atlantide pour les publics éloignés
Le festival s’attache à tisser des liens avec des structures associatives ou du champ social afin d’ouvrir l’écriture et la littérature au plus grand nombre. Quatre rencontres avec des auteur·e·s et une lecture dessinée ont ainsi été imaginées pour être au plus près des habitant·e·s et permettre une mixité sociale et générationnelle : Olivia Rosenthal à la Maison d’arrêt de Nantes, Emmanuèle Sandron au CHU de Nantes, Nadia Chonville à la maison de quartier de Madeleine Champ de Mars avec les associations du Quartier des Olivettes et Thomas Azuélos auprès de personnes primo-arrivantes accompagnées par l’association ACCOORD. Enfin à La Libre Usine, lieu de création du Lieu Unique, la lecture dessinée de Thomas Baas et Hélène Francisci pour les familles du quartier Malakoff.

© Caroline Panhard
Atlantide pour les scolaires
Le festival rayonne sur un vaste territoire à travers les écoles, collèges et lycées pour faire découvrir les métiers du livre et inviter à se plonger dans la littérature, l’écriture et la lecture. De la grande section jusqu’au lycée, plus de 600 élèves ont étudié en classe un roman ou un album d’un·e auteur·e invité·e du festival qu’ils rencontreront pendant la manifestation : les auteur·e·s du Prix littéraire jeunesse Bermond-Boquié (Emmanuel Bourdier, Thomas Baas, Aliénor Debrocq, Charlotte Erlih et Emmanuèle Sandron, traductrice d’Anna Woltz), mais aussi Léonard Chemineau et Wilfrid Lupano en lice pour le Prix littéraire des lycéens des Pays de la Loire ainsi que Vincent Villeminot.

© Caroline Panhard