Dans Au printemps des monstres, Philippe Jaenada dissèque un fait divers des plus bouleversants. Et quand Arpád Soltész démêle les entrelacs du crime organisé dans Le bal des porcs, Elsa Fottorino, dans Parle tout bas, traduit avec sobriété les traumatismes indélébiles d’un viol dans la vie des victimes. Le roman dépeint-il plus que jamais la part sombre de notre humanité ?

© Caroline Panhard