Coups d’État, dictatures, révoltes des peuples… ont marqué cette dernière décennie. Beaucoup d’observateur·ices prévoient en Afrique noire les mêmes mouvements populaires qui ont secoué le monde arabe et qu’on avait qualifiés de « printemps arabe ». Quel regard portent ces auteur·ices et dans quelle mesure la littérature peut-elle jouer un rôle ?
