Si Laura Vazquez signe avec La Semaine perpétuelle d’abord un premier roman sur les gens d’Internet, d’une écriture animiste où toutes les choses du monde peuvent parler, le dystopique Le Grand Vide de Léa Murawiec fustige également les paradoxes d’une contemporanéité où notre existence et notre lien au monde se mesurent aussi à l’aune de réseaux dématérialisés.

© Caroline Panhard